Deux incidents récents, les autres en cours de préparation...
INCIDENTS EN FRANCE... Nous sommes tous concernés !
Méthaniseur : appel en catimini du maire, la contestation repart à Saint-Étienne-Roilaye
EXTRAIT OISEHEBDO...
]...L’annonce est tombée début octobre : la mairie de Saint-Étienne-Roilaye a décidé d’interjeter appel d’un jugement rendu le 12 juin par le tribunal administratif d’Amiens. Ce jugement annulait un arrêté municipal de 2023 portant dérogation à la limitation de tonnage sur une voie étroite empruntée par les camions desservant le méthaniseur de la commune. Pour l’association Entre Bois, Champs et villages, cette décision d’appel surprend autant qu’elle interroge. «Le jugement avait clairement reconnu un conflit d’intérêt au moment de la signature de l’arrêté de 2023, puisqu’il concernait directement la desserte du méthaniseur familial», rappelle l’association dans un communiqué de presse diffusé ce week-end. Le maire ... est associé dans la SAS Biométhane du Vandy, qui exploite le méthaniseur...[
Pollution aux PFAS : suspension de l’épandage des boues et digestats en zones de captage par arrêté de la Préfecture des Ardennes...
EXTRAIT site chambre agriculture des Ardennes...(A LIRE...>)
]...Depuis l’été 2025, la consommation de l’eau du robinet à des fins de boisson est interdite dans 13 communes ardennaises, représentant environ 3.000 habitants, en raison de taux de PFAS supérieurs à la limite réglementaire. Ces restrictions concernent également certaines communes de la Meuse voisine.
Des investigations sont en cours pour identifier précisément l’origine de cette pollution. L’épandage de boues industrielles à proximité de captages d’eau potable figure parmi les pistes à explorer...[
Deux accidents majeurs à l’unité de méthanisation Méthabaz à Bourgogne- Fresne : chronique d’une pollution annoncée !
EXTRAIT site Champagne Ardenne les écologistes...(A LIRE...>)
]...Deux incidents majeurs ont marqué le début de l'année 2025, mettant en lumière les risques associés à cette unité de méthanisation. Le 9 février, le toit d'un des trois digesteurs s’effondre entraînant le rejet dans l'atmosphère de méthane, d'oxydes d'azote et de soufre. Huit jours plus tard, le 17 février, une nouvelle catastrophe est survenue lorsqu'une poche contenant 1000 m³ de digestats s'est rompue. Ces résidus liquides, normalement destinés à l'épandage agricole, se sont déversés dans les sols environnants, soulevant des inquiétudes quant à l'impact environnemental de l'installation...[